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Notre histoire

Riche en traditions, notre érablière existe depuis 1930.  En effet, déjà à cette époque, le grand-père de France, Herménégilde, exploitait la cabane à sucre de façon artisanale.  De 1974 à 1999, Maurice et Simone, les parents de France, ont pris la relève.  Ils ont construit une nouvelle cabane à sucre plus grande pour accueillir les amis des amis de la famille et ce, à proximité du chemin de la Savane.

Le bouche-à-oreille était déjà commencé : il fallait aller chez Simone et Maurice pour l’accueil et la nourriture.  Ils ont su montrer à leur fille France, leur relève, le plaisir de recevoir et de cuisiner.

Depuis le décès du père (1991) et de la mère (1999) de France, elle et son époux André gèrent l’entreprise familiale tout en s'occupant de leurs quatre enfants.

Aujourd’hui, leurs enfants sont maintenant propriétaires et chacun apporte une expertise à l’entreprise. Alexandre est l’amoureux de la nature.  Avec son père, il s’occupe de l’acériculture et de la foresterie. Récemment, il a obtenu son diplôme d’études professionnelles en production acéricole. Charles, diplômé de l’Institut de Tourisme et d’Hôtellerie du Québec, est maintenant chef brasseur propriétaire.  Il s’occupe du service de table et vous accueille comme Maurice, son grand-père. Ceux qui l’ont connu remarqueront une grande ressemblance. Audrey, aussi diplômée de l’Institut de Tourisme et d’Hôtellerie du Québec, est directrice de la restauration. Elle travaille aussi au service de table avec son frère Charles. Sa polyvalence l’amène à toucher plusieurs départements dont la cuisine et la gestion administrative. Charles et Audrey ont pu perfectionner leur savoir en faisant des stages au Canada et en France dans des hôtels de prestige. Sabrina a fait ses études en Arts Visuels au Cégep de Saint-Hyacinthe. Elle est maintenant chef cuisinière à l’érablière.  Étant épicurienne et créative de nature, elle nous concocte différents plats aussi beaux que bons. Elle participe à l’élaboration des menus et des plats cuisinés vendus dans les marchés publics.

Quelques témoignages